Elena a un naturel charmeur. Son visage fin et pâle contraste parfaitement avec ses longs cheveux chocolats qui ondulent à leur gré. Les traits de son visage son fins, méticuleusement tracés. Elle a deux grands yeux marrons en forme d’amande, qui très souvent permet à son entourage de savoir ce qu’elle pense vraiment, rien qu’en lisait son regard bien trop expressif. Un petit nez fin surplombe des lèvres rosées et charnus. Une silhouette svelte, elle est de taille normale, environ 1m67. Elle est très naturelle, ne se maquillant que très peu. Sans mentir, Elena est une belle femme, et elle ne s’en cache pas.

La jolie brune est très sociable avec les personnes qui l’entourent. Elle est certainement trop débordante de gentillesse, mais elle ne se laisse pas pour autant se marcher facilement dessus. Elle a un caractère très têtue, et elle est hélas atteinte d’une curiosité maladive. Elena viendra en aide à qui elle peut, elle est loin d’être égoïste. Elle n’aime pas faire du mal à qui que ce soit, et elle déteste les soirs de pleine lune où elle perd totalement le contrôle d’elle-même, et commet ce qu’elle déteste. Elle est courageuse, et n’a pas peur de grand-chose. C’est une jeune femme très intelligente, qui analyse tout ce qu’il se passe autour d’elle, et dès qu’elle le pourra elle vous prouvera qu’elle a raison, et que par conséquent vous avez tort.

Elena est née le 13 Mai 1806. Appartenant à une famille de la basse société, elle a été élevé dans l’amour et le partage. Elle avait 5 frères et sœurs, autant dire que c’était une grande famille. Etant l’aînée de la famille, elle aidait sa mère Jane Carter, qui était connue dans le village où elle vivait pour sa générosité. N’étant pas assez aisé, les Carter ne pouvait vivre en ville. Son père, Billy Carter, travaillait dans les mines de charbons tous les jours, afin de gagner de l’argent pour que sa famille puisse vivre. Elena et ses frères et sœurs allaient à l’école du village. La jeune femme rêvait des grandes universités que lui offrirait ses études, et surtout la ville. Seulement elle se doutait que ses parents n’auraient jamais les moyens de lui payer ses études, et elle dû abandonner l’idée d’étudier dans de grandes écoles.

C’était un soir d’hiver, le 21 janvier 1824 qu’Elena abandonna sa mortalité et son humanité. Il était tard dans la nuit, la jeune femme n’arrivant pas à dormir, prise régulièrement d’insomnie, elle était sortie prendre l’air, pensant qu’après une longue marche elle serait apte à dormir. Dans le village, tout le monde dormait. Il y régnait donc un silence presque effrayant et oppressant dans les rues désertes, simplement éclairées par la pleine lune. Mais Elena étant une jeune femme courageuse, elle ne se laissa pas impressionner par la forme massive et sombre qui s’approcher d’elle. La tête haute, elle ignora tout bonnement ce qu’elle pensait être un homme qui passa près d’elle. Mais sans qu’elle ne puisse anticiper quoi que ce soit, elle eut la sensation de se faire happer derrière une maison, et elle la morsure qu’elle reçut la fit tout bonnement tomber dans les vapes. Lorsqu’elle se réveilla, elle se retrouva dans une sorte de cabane en bois. Prise de panique, elle se rendit compte qu’elle était seule. Elle rentra au village, s’excusant auprès de ses parents qui étaient morts d’inquiétude.

La nuit suivante fut tragique, pour elle comme pour les gens qu’elle connaissait. La pleine lune était encore éclatante, haute dans le ciel noirâtre. La transformation fut douloureuse, et Elena ne prenait pas conscience de ce qu’elle était et de ce qu’elle faisait. Elle s’attaqua aux premiers passants qu’elle croisa dans le village. Prit de terreur les autres villageois s’enfermèrent chez eux à double tour, ne voulant pas finir inscrit sur la liste de morts que la créature causait sous leurs yeux.

Le lendemain matin, Elena se retrouva dans une clairière, sa peau abimée et meurtri. C’est seulement à cet instant qu’elle prit conscience du monstre qu’elle était devenue. Rongée par le remord, elle s’enfuit de son village natale, abandonnant sa famille afin de ne pas les blesser à l’avenir. Elle était totalement seule, perdue et confuse. Jamais elle n’avait lu quoi que ce soit sur le monstre qu’elle était. Elena dut se débrouiller seule, et trouver des informations lui permettant d’en savoir le plus possible sur ce qu’elle devenait.

[ … ]

Aujourd’hui, cela fait deux ans qu’elle vit à San Francisco. Elle change d’endroit à peu près tous les 20 ans, évitant ainsi que trop de questions ne fusent autour d’elle. Elena s’est habituée à la ville, elle a put faire les études qu’elle voulait en faisant quelques boulots. Elle ne sait toujours pas se contrôler les nuits de pleine lune, et très souvent elle tue des personnes contre son gré.

Bienvenue à San Fransisco Elena,

J'espère que ta nouvelle vie ici te convient et je comprends que cela puisse t'être difficile de tuer des innocents les soirs de pleine lune. Si jamais tu veux en parler et peut-être avoir de l'aide ces fameuses nuits, tu n'auras qu'à m'appeler.

A très bientôt,

Je te souhaite la bienvenue à San Fransisco, même si ça fait déjà deux ans que tu y habites! En espérant que ton côté le plus sombre refera surface et que ta part d'humanité s'effacera devant la partie la plus sauvage de toi-même.

Au plaisir de te croiser, lors de la pleine lune;

En attendant, je valide cette fiche, bon jeu parmis nous !

Bienvenue à SF, Elena.

J'espère que tu trouveras le repos dans notre ville, et que tu oublieras un tant soit peu ta nature. Je ne suis pas quelqu'un de très sociable, mais si jamais tu veux en parler, je serais là. J'aurais aimé pouvoir parler à quelqu'un de ma détresse lorsque j'étais dans une mauvaise passe... Alors n'hésite pas. Grâce à mes pouvoirs, je ne courrais aucuns risques lors des Nuits de pleine lune. Sinon, je serais heureuse de te croiser au hasard des rues...

Peut-être à Bientôt.

J.Faverly.

Mouais… Comme les autres disent 'Bienvenue',

Si seulement tu pouvais laisser ton côté obscur prendre le dessus sur la faible que tu es le plus souvent, ça m'arrangerait. Des lycans par-ci, des lycans par-là, tous pleurnicheurs et bons à rien ! 'Je suis un monstre, je m'en veux de tuer des innocents' Ah oui? Et bien il fallait y penser avant, tu sais, au moment où ils faisaient une super ristourne sur les revolver au magasin bizarre en face de chez le gars qui fait les tatoo ! Conseil de démon : laisse gagner ton esprit mauvais sur le bon, ou alors, suicide-toi.

Bon jeu ! Amuse-toi doublement bien ici,

Au déplaisir,

Xan

Le suicide est peut-être une bonne idée ... Mais ça te ferait certainement trop plaisir démon, et je ne tiens pas à t'offrir ce privilège. Quant à ton autre conseil, je vais me garder de le prendre à la lettre. Un démon n'est jamais fiable. Mais merci pour tes merveilleuses idées !

De même ; Au déplaisir.

N'écoute donc pas cet imbécile de Xan, ce n'est qu'un minable crétin. Puisque je ne peux pas me révolter contre mon cher Stephen, je vais juste te conseiller de ne pas trop te frotter aux démons, tu t'y piqueras. Je sais ce que ça fait que de ne pas savoir réellement si on est quelqu'un de bon, ou l'inverse. Je me ferais un plaisir de te rencontrer, discuter avec toi pourrait m'être bénéfique, qui sait? Après tout, on a toujours des tas de choses à apprendre des lycans. Je te souhaite une bonne intégration parmi notre communauté magique.

Bon amusement, chère Nexou !

Au plaisir,

Merci Ninon pour ces conseils ! J'espère te rencontrer aussi !

Au plaisir.

Une louve à San Francisco, voilà que je me sens moi seule…

Permets-moi de te souhaiter la bienvenue, chère consoeur. J'espère que tu arriveras à rester toi-même quoiqu'il puisse t'arriver ici, et que tu ne laisseras pas les démons enfouis en toi remonter à la surface. Entre lycans, nous devrions avoir énormément de choses à nous relater, je compte sur le destin pour nous faire rencontrer. J'ai hâte d'apprendre à te connaître.

Au plaisir donc,

Prue

Je suis ravie de savoir qu'une autre louve vit à SF ! Je ferais tout pour que mon côté sombre reste enfouie au plus profond de mon être. J'espère te rencontrer, tout comme tu l'as dit, je suis certaine que l'on a un tas de choses à se dire.

Au plaisir.