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 Do I like you? Or do I hate you? I dunno 'cause we're so alike... -Calixton Pierce and Eliana Foster

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Eliana Foster


My name is
Eliana Foster -


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♣ Messages : 10
♣ Localisation : Dans la chambre d'un séduisant inconnu
♣ Situation amoureuse : Variée

Do I like you? Or do I hate you? I dunno 'cause we're so alike... -Calixton Pierce and Eliana Foster _
MessageSujet: Do I like you? Or do I hate you? I dunno 'cause we're so alike... -Calixton Pierce and Eliana Foster   Do I like you? Or do I hate you? I dunno 'cause we're so alike... -Calixton Pierce and Eliana Foster Icon_minitimeMer 13 Avr 2011 - 22:29

Le 9 avril 2011, dans l'allée centrale du centre commercial de San Francisco :

Le 9 avril 2011, dans le centre commercial de San Francisco :

La foule se pressait dans les allées regorgeant de boutiques. Un mélange hétéroclite de créatures -telles que des vampires, des elfes ou des lycans, ou de simples humains venaient faire les boutiques, voire simplement flâner. Eliana pestait contre cette masse humaine venue entraver sa marche et par conséquent gêner sa journée de shopping, par ailleurs fructueuse. Les humains surtout l’agaçaient : patauds, maladroits, ils ne parvenaient pas à l’esquiver assez vite pour qu’elle puisse s’abstenir de sentir les effluves de leur odeur corporelle. Répugnant. Du coup, plus d’un étaient retournés chez eux le corps endolori, n’ayant pas compris d’où leur venaient ses nombreuses ecchymoses qui parsemaient leur corps : en effet, Eliana se mouvait si vite qu’ils ne parvenaient pas à l’apercevoir et ne ressentaient qu’un grand choc lorsqu’elle les repoussait sans ménagement. Mais dans l’ensemble, Eliana était plutôt contente : elle venait de renvoyer un de ses serviteurs, tout encombré des nombreux achats qu’elle avait fait dans des boutiques de luxe. Elle s’était fait construire un dressing qui occupait toute une pièce et elle entendait bien le remplir.

L’idée lui vint soudain de se poser quelques temps dans un bar de l’allée centrale, avant de repartir à l’assaut des boutiques. Elle pourrait ainsi se divertir en observant les humains et pourquoi pas, espérer trouver là-bas un jouet séduisant qui lui tiendrait compagnie au cours d’une nuit inoccupée (car en temps que vampire Eliana ne dort pas) et lui servir de repas. Réjouie par cette idée des plus alléchantes, elle entra dans le premier bar qui se trouvait sur sa route. Grave erreur. Si l’endroit paraissait au premier abord correct, il était en fait envahi par des bandes d’alcooliques tétant misérablement leurs bouteilles. Si son caractère était celui d’une sale enfant capricieuse, le physique d’Eliana était, lui, des plus agréables. Et sa tenue n’était pas celle d’un enfant de chœur : Eliana portait en effet un T-shirt noir lacé dans le dos (mais qui le dévoilait presque entièrement), un tout petit short noir lui-aussi et pouvant s’apparenter à une large ceinture, et en guise de chaussures, elle portait des talons aiguilles si hauts que toutes les humaines se demandaient comment elle faisait pour ne pas perdre l’équilibre.

Eliana venait de se poser sur une chaise et de commander un whisky (l’alcool n’affecte pas les vampires), lorsque la porte s’ouvrit. Un groupe d’hommes apparemment déjà ivres -et ayant manifestement des liens de parenté avec l’espèce troll à en juger par l’odeur et la corpulence- fit une entrée remarquée dans le pub, dans le sens ou tout ce petit monde agressait les oreilles des pauvres autres clients. Ils ne parlaient pas, ils hurlaient. La dizaine de gorilles s’installa au comptoir. Eliana tentait vainement de ne pas écouter leur conversation inintéressante, mais son ouïe ultra-sensible l’en empêchait, d’autant plus que ces abrutis beuglait de plus en plus. Et malheureusement, l’un deux avisa la jeune fille.

-HÉ, VISEZ UN PEU CE QU’ON A LA-BAS LES MECS !! HÉ, BEAUTÉ ! VIENS-LA, SOIS PAS TIMIDE !!

Eliana constata avec horreur que toute une partie de la bande se dirigeait maintenant vers elle.
« Oh non ! » pensa-t-elle « ils vont venir me polluer mon air ! »
L’autre partie de la bande se dirigeait maintenant vers une autre fille qu’elle apercevait à l’autre bout de la salle. Eliana s’inquiéta brièvement pour elle mais elle avait d’autres chats à fouetter : comment se débarrasser de ces soudards sans trop utiliser ses dons, et surtou sans les tuer ? Toute créature magique qui tuait un humain devait rendre des comptes aux autorités magiques, signer une montagne de paperasse et accomplir une dizaine d’autres tâches administratives ennuyeuses, ce qu’Eliana souhaitait éviter à tout prix. Les abrutis étaient maintenant à sa hauteur, et s’assirent en cercle autour d’elle pour l’empêcher de fuir, ne se doutant pas que c’était eux qui étaient à plaindre : en effet, sous l’effet de la colère les yeux d’Eliana s’étaient assombris et elle sentait ses dents, déjà plus longues et plus pointues que celles des humains, devenir plus longues et encore plus tranchantes. Elle se voyait sauter à la gorge de ces idiots, les vider de leur sang…

-ALORS LA BELLE ? ÇA TE DIT UNE PETITE DÉTENTE AVEC NOUS ? ON N’EST PAS DIFFICILES TU SAIS ?
En disant ça, l’un des hommes emprisonna la main d’Eliana sous sa grosse paluche.
-Ne me touche pas.
-REGARDE, ON EST NOMBREUX, Y’EN AURA SUFFISAMMENT POUR TE SATISFAIRE !!
-Ne-me-touche-pas !
Eliana retira sa main, aussi vive que l’éclair et se saisit des doigts de son adversaire, les brisant d’un coup sec. Elle crut entendre le même genre de craquement suivit d’un même genre de hurlement de l’autre coté de la salle et se dit :
« Tiens, il y a de l’écho dans cette pièce. Tant mieux, ça répercutera leurs cris, et ça apaisera ma haine ! »
Les autres hommes se jetèrent sur elle. Eliana en étala un d’un coup de poing, se retournant aussitôt pour faucher le suivant d’un revers de la jambe. Le quatrième la ceintura, elle lui balança sa jambe en arrière, atteignit la partie la plus sensible de son anatomie, puis lui mit une droite à l’aide son poing qu’elle redressa, l’atteignant en pleine tête. La violence du choc le projeta contre un mur, et il s’affaissa, inanimé. Elle contra les coups de poings maladroit du cinquième type, lui immobilisa les bras, et lui flanqua un grand coup de pied au visage, le propulsant hors du bar. Elle posa ensuite sa main sur la poitrine du sixième gorille, faisant appel à son pouvoir de téléportation. (Ses copains pensèrent qu’il s’était enfui au cours de la bisbille, mais le gars s’était en fait retrouvé sur une ile où il finit mangé par une tribu de cannibales). De la bande d’abrutis alcoolisés il n’en restait plus qu’un. Elle pirouetta en arrière, enchaînant une série de rondades arrière de manière à trouver un endroit plus dégagé. Elle fit un signe provocateur –mais néanmoins gracieux- de la main au dernier homme, l’invitant à l’attaquer, s’il osait. Il se rua sur elle sans réfléchir –même si le contraire l’eut étonnée-. Elle n’eut qu’à se décaler légèrement et à lui mettre une bonne droite, l’envoyant au tapis. Elle n’avait pas tapé suffisamment fort pour les tuer, mais assez pour les envoyer à l’hôpital pour cause de multiples fractures ou nez cassés.

Ce qui lui avait paru bizarre pendant toute la duré du combat, c’est que son impression d’écho ne s’était pas atténuée : les même genres de bruits s’étaient fait entendre à l’extrémité de la pièce. Elle jeta un coup d’œil et vit que l’autre partie de la bande des trolls s’était fait décimer par une jeune fille. Une fille qui paraissait humaine, bien qu’Eliana puisse distinguer une sorte d’aura autour d’elle. Les deux jeunes filles avaient envoyé au tapis le même nombre d’adversaires dans le même laps de temps. Eliana était impressionnée : peu d’humaines pouvaient rivaliser avec un vampire…à moins, bien sûr que ce soit une sorcière. Ce qui était tout à fait possible. Elle observa de près l’inconnu, sans se soucier de questions de politesse. D’ailleurs, l’inconnue la détaillait aussi. Elle lui paraissait frêle et fragile, mais les apparences sont trompeuses : Eliana le savait bien car elle en était elle-même un bon exemple.
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Do I like you? Or do I hate you? I dunno 'cause we're so alike... -Calixton Pierce and Eliana Foster

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