Nom complet : Loa Holtaïlis
Date de naissance : 07/05/1990
Nature : Dite sorcière ou dégénérée, elle possède "le pouvoir"
Avatar : Lola, soit la modératrice de Amaryl B. Nightingale.

Description physique : De taille moyenne (un mètre soixante-huit pour du 37/38 en taille de chaussures), Loa est svelte, ayant des formes avantageuses. Une longue cascade de cheveux blonds, la plupart du temps bien lisses, encadrent à la perfection son visage à la peau assez pâle quoique teintée de rose au niveau des joues lorsqu'elle a froid ou est gênée - fait très rare. Ses yeux, un bleu et l'autre vert, peuvent être remarqués par un œil généralement non humain si l’on y fait attention. Car la différence est parfois si légère que même Loa elle-même ne le voit pas. Elle passe pour une humaine tout à fait normale, si ce n'est que ses mains ont l'air d'avoir bien vécu. Ses formes lui valurent plusieurs fois les regards des hommes, mais elle ne s'y était jamais intéressée et ne risquait pas de le faire aujourd'hui. Elle ne se démarque pas par son style vestimentaire, bien qu’ayant ses goûts bien à elle, tachant de faire tout de même attention à ce que sa présence passe inaperçue.


Description de son caractère : Loa a l'apparence de quelqu'un de sympathique, conviviale et amicale, elle aspire naturellement à la confiance. Et elle est tout à fait capable d’acquérir ces qualités réellement tout comme elle peut en faire une façade. Curieuse et obstinée, Loa fourre son nez partout, passant également pour une vraie tête de mule quant à ses opinions et ses croyances. Lunatique, elle peut changer d’attitude sans que l’on s’y attende. Assagie au fil du temps, elle a tout de même quelques pulsions sadiques. Et dans ces moments-là, Loa peut faire souffrir les gens… à sa manière. Et seules quelques rares personnes sont dans ces cas-là capables de la dissuader de faire du mal et de l’apaiser.


Histoire : Née dans un petit village d’Angleterre, de parents aux revenus plus que modestes, Loa passa la majeure partie de son enfance dans une école privée, voyant sa nourrice le soir car ses parents travaillaient. Mais elle était souvent seule, étant enfant unique. Comment en est-elle arrivée à subitement quitter la douce école privée pour rejoindre un pensionnat dit pour enfants à problèmes ? Personne ne le sut. Ou plutôt, peu furent dans la confidence. Et ces quelques personnes évitèrent soigneusement d’approcher Loa par la suite, ou tout du moins essayèrent. Enfin, ses parents s’absentaient le plus souvent possible, prétextant du travail et elle restait donc seule les quelques week-end où elle revenait du pensionnat. Mais au fond, cela ne la dérangeait pas, elle s’était habituée à cette solitude de quelques jours.

Elle avait dix ans lorsqu’elle arriva à ce pensionnat, dit pour enfants difficiles. Et une des causes pour lesquelles elle y fut admise était qu’elle avait un ‘pouvoir’. Ou tout du moins, c’est ainsi qu’elle l’appelait, ne sachant quel autre nom lui donner. Tout avait commencé par une belle journée, alors qu’elle était encore à l’école primaire privée de sa ville. Ce fameux jour, un élève qui aimait particulièrement l’énerver lui rappela une fois de plus l’absence de ses parents. Mais ce jour-là, il insista. Loa, folle de rage, avait brusquement tendu les bras, prise d’un sursaut d’adrénaline due à la colère et repliant ses doigts contre sa paume, elle put s’apercevoir que le jeune garçon s’étouffait. Et plus elle serrait les mains, repliant ses doigts vers sa paume, plus le garçon avait du mal à respirer. D’instinct, elle ouvrit les mains, laissant ainsi le garçon retomber à terre, inconscient. L’incident fut étouffé par la direction de l’école, mais l’on exigea aux parents de changer Loa d’établissement scolaire. Ce qu’ils avaient de toute façon l’intention de faire.

Là-bas, caractéristique étrange : d’autres élèves avaient comme Loa un ‘pouvoir’. Une jeune fille était capable de se téléporter jusqu’à quelques kilomètres de distance, un autre pouvait guérir toute blessure et en apaiser la douleur... Ils formèrent un petit groupe d’une douzaine de personnes ayant toutes quelque chose de particulier. Durant les plusieurs années qu’elle passa au pensionnat, Loa se lia particulièrement avec Silnëi, capable de maîtriser le feu. Leur ‘pouvoir’ ne se manifestait que lorsqu’ils étaient en colère ou éprouvaient de la peur et ils se servaient toujours et uniquement de leurs mains. Ensemble, ils apprirent à maîtriser ces compétences hors du commun jusqu’à pouvoir les utiliser avec une quasi perfection, tout cela dans le plus grand secret. Loa découvrit par la suite qu’elle pouvait en fait resserrer un étau autour de la partie du corps qu’elle voulait d’une personne et elle était également capable de soulever des personnes ou des objets dans les airs. Mais elle était également en pouvoir de maîtriser ses émotions. La colère pouvait tout aussi bien bouillonner en elle qu’elle affichait un visage d’un calme abusif. C’est ainsi que jusqu’à ses dix-huit ans, elle resta là-bas, dans ce pensionnat qui faisait plus office de camp de redressement qu’autre chose mais où il y avait toujours quelque chose à faire, entant entourée de ses amis et des autres ados qui évitaient soigneusement pour la plupart d’aller se frotter au groupe. Oh bien sûr, il y a toujours quelques exceptions mais au fond, Loa trouvait que cela lui faisait du divertissement.

Ainsi donc, l’année de ses dix-huit ans, elle put enfin quitter le pensionnat et coupa définitivement les ponts avec sa famille qu’elle ne voyait déjà plus. Elle résida les deux années qui suivirent dans la capitale, effectuant des petits boulots dont elle se fichait éperdument car malgré tout, ses parents lui versaient tous les mois de l’argent, désireux ainsi de se faire pardonner de ces années pendant lesquelles ils ne s’étaient pas occupés de leur fille. Mais ils ne souhaitaient pas la voir pour autant. Au fond, Loa ne pouvait espérer mieux. Pour elle, ses parents n’existaient plus ou presque. Elle était dorénavant souvent en compagnie de Silnëi qu’elle considérait comme sa meilleure amie.

Elle avait tout juste vingt ans qu’elle se décida brusquement à changer d’air et prit ainsi un billet d’avion pour l’Amérique. Elle entreprit de visiter tout d’abord les quelques grandes villes des Etats-Unis et elle se décida finalement à rester à San Francisco d’où elle gardait le contact avec Silnëi, restée à Londres. Autant parce qu’elle était tombée sous le charme de la ville que parce que ses deux années passées à Londres lui avaient fait rencontrer toutes sortes d’étonnantes créatures et qu’elle avait entendu dire qu’ils migraient tous vers San Francisco où ils pouvaient retrouver de vieilles connaissances. Et Loa, curieuse de nature avait bien envie de retrouver comme de découvrir de nouvelles personnes…

Prénom : Anaëlle ou Nana
Âge : /
Fréquence de connexion : Régulière
Pourquoi je me suis inscrit(e) : Une envie vite changée en idée permanente, se précisant au fil du temps. Et aussi parce que je voulais quelqu'un d'un minimum plus cruel qu'Alida et Ellan (a)
Autre chose à dire ? Marci à Schei et surtout à Nexia pour le nom de famille original de Loa

Arthur Stein

Bienvenue à toi, chère Loa !

Je te trouve étrangement intéressante et j'espère avoir l'occasion de et croiser. Nous nous ressemblons assez et je pense que nous pourrions nous entendre. Je suis comme toi, assez spécial...
Au plaisir donc,

Bienvenue à toi, Loa.

Ton histoire est intéressante, bien que je me demande si tu as réellement un pouvoir ou si tu juste une folle de plus dans ce monde. Cependant, si ton histoire est vraie, je serais ravi de te rencontrer et de te faire part des nombreuses possibilités qui pourrait s'ouvrir à toi si tu déciderais de te soumettre au mal et à ses Enfers. Tu aurais certainement beaucoup à gagner et à apprendre. Réfléchis-y.

En attendant, je valide ta fiche, bien sûr !

Cordialement,

Ton cas est intéressant, petite Loa, très intéressant. Tu as connu le sort réservé à nos semblables pour leur différence, une marque de naissance que les autres ne parviennent pas a accepter. La compassion n'est pas mon fort, toutefois, je suis apte à comprendre tes penchants sadiques. Saurais-je les encourager? Je laisse cette décision au hasard d'une rencontre...