Habitué à la solitude, aux faux-semblants et à l’opulence, Gaspard n’a pas une once de morale et si ça n’a pas semblé déranger le déroulement de sa vie, ça n’a pas non plus affecté sa mort. Grâce à sa nature vampirique qui a renforcé d’une nouvelle couche d’acier la confiance qu’il avait en lui, il fait réellement tout ce qui lui plaît, quand il le désire. Il est déterminé à goûter tous les plaisirs que la mort offre quitte à sacrifier les autres pour son bon plaisir. Tuer n’est véritablement pas un problème pour lui, c’est une simple formalité et même s’il ne prenait pas de plaisir à sucer du sang, jusqu’à peu, il aimait et aime toujours sentir sa victime totalement à sa merci. Il est sadique, le reconnaît comme une qualité et repousse constamment les limites qui peuvent lui être opposées dans un bluff sans fin qui porte quasiment toujours ses fruits. Il est fin psychologue, ce qui lui permet de manipuler la plupart des humains avec une facilité qu’il juge presqu’ennuyante mais son degré de patience avoisine les zéros, ce qui fait qu’il peut s’énerver très rapidement sans que vous ne le sachiez forcément étant donné que Gaspard fera tout pour éviter de vous montrer qu’il est en train de perdre le contrôle sur ses réactions. Il méprise la nature et tout ce qui lui est rattaché, l’un de ses plus grands rêves est de raser tout la végétation incontrôlable et incontrôlée de San Francisco et de la remplacer par des espaces aussi précautionneusement entretenus que restreints.